Un traître mot

Valeurs actuelles , numéro du 27 août 2020

Sur Causeur :

Sur Boulevard Voltaire :

https://www.bvoltaire.fr/livre-un-traitre-mot-de-thomas-clavel/

Sur Afrique Asie.fr :

https://www.afrique-asie.fr/lire-thomas-clavel-et-le-pere-zahlaoui/?fbclid=IwAR3-tVdV-cFyKQpQ6RDiJbRitnlwucnwcw2-NQQDO5oJhx9__f0_ZOkjVPE

Sur éléments :

Sur Polemia :

https://www.polemia.com/un-traitre-mot-de-thomas-clavel-anticipation-glacante-de-notre-monde/

Sur Riposte laïque

https://ripostelaique.com/vaincre-par-les-mots-un-traitre-mot-de-thomas-clavel.html

REVUE GENERALE, PRESSES UNIVERSITAIRES DE LOUVAIN

https://www.journaldemontreal.com/2021/07/20/la-fiction-nest-jamais-tres-loin-de-la-realite
https://www.youtube.com/watch?v=dQjU8pKpjeg&t=944s&ab_channel=FranceLibert%C3%A9
https://www.revue-elements.com/produit/un-traitre-mot/
Journal de Renaud Camus

Recension d’Un traître mot par Lydia Belatèche de l’Université du Minnesota

https://muse.jhu.edu/article/839907

Beatus de Saint-Sever, Commentaire de l’Apocalypse
Dragon, bête et faux prophète

Francis Bacon, Triptyque (élément)

Deux récits en miroir. Une guerre de mots.

Liban, années 1960 – L’Université américaine de Beyrouth accueille la fine fleur du monde intellectuel proche-oriental. Mais les nouvelles tensions identitaires menacent le fragile équilibre du campus.

France, années 2020 – Diplômé de l’École normale supérieure, rarissime spécialiste de Maurice Blanchot, Maxence est un jeune professeur de littérature comblé. Un jour, sa vie bascule à cause d’un coup de fil scélérat et de quelques malheureux propos discriminatoires qui lui échappent – mais que la loi réprime avec une sévérité inouïe, sous l’œil complice des médias subventionnés et du milieu associatif.

Une boutade grossophobe au téléphone, un post climatosceptique capturé sur les réseaux, l’enregistrement d’une conversation aux relents misogynes : les paroles nauséabondes sont désormais plus sévèrement punies que les violences physiques. Peu à peu, les prisons se peuplent d’une nouvelle classe de condamnés : les criminels de mots.

Maxence parviendra-t-il à déjouer la terrible machination judiciaire ?

Philippe Muray, Festivus festivus

« Que se passe-t-il ? C’est la question originelle de la littérature romanesque. »

« La fin de l’Histoire est un vandalisme qu’il ne faut plus arrêter de vandaliser. La fin de l’Histoire est une fiction sinistre dont il faut écrire le roman drôle. »

« Il faut inventer une nouvelle démonologie, et cela me paraît être la mission de la littérature aujourd’hui. Désormais, les légions de Satan (qu’on appelle aussi l’accusateur) se nomment associations. Elles servent l’égalitisme démoniaque. Elle sont les hyènes de la comédie de la Justice. »

« Planquer le réel sous le tapis, comme de la poussière offensante, est devenu le premier réflexe de l’écrivain qui se rêve un avenir flatteur. Pendant que la grande métamorphose est en train de produire ses pires effets, les romanciers de diversion se multiplient. »

« Ce n’est pas de sociologues que ce monde a besoin, mais de démonologues. »

dédicace à la Nouvelle librairie, Paris, 5 juin 2021